Des maux aux mots
En 2014, les victimes de viol n’osent toujours pas parler. C’est le constat tristement banal, mais alarmant, qui m’a poussée en tant que journaliste, en compagnie de Mathilde, photographe, à partir à la rencontre de ces victimes. Notre but ? Comprendre les mécanismes de culpabilisation dont elles sont prisonnières.
Valérie Gillioz – photographies Mathilde Troussard. Ci-dessous l’article complet de 10 pages paru dans le MOOK 24h01 N°03 automne/ Hiver 2014-2015 puis un extrait de l’article paru dans Psychologies Magazine » Viol : pourquoi la chape de plomb ».